Ceci est le 26ème numéro de Mes Explorations, qui paraît un vendredi sur deux.
26, c’est la moitié de 52. Il y a 52 semaines dans une année. Et oui, demain, cela fera un an que le numéro 000 de Mes Explorations est sorti !
Un an que les abonné·es de la première heure savent donc, par exemple, qu’il y a eu, une fois, il y a longtemps, un 30 février, jour trissextile.
Un an, ça se fête.
Un an après, je suis toujours content d’écrire cette infolettre, fier d’avoir tenu un tour complet autour du soleil, 4 saisons traversées sans rater ce rendez-vous quinzomadaire.
J’aime toujours lire tes retours, j’ai choisi ce mode de communication pour que tu lises quand tu veux, et que tu puisses répondre si tu veux (suffit de répondre au mail).
Vous êtes aujourd’hui 65 abonné·es.
Bienvenue aux personnes arrivées récemment. Quelques un·es sont parti‑es en cours de route : pas de souci, tu es libre, Max. Par contre, il reste encore quelques êtres humains sur cette planète qui ne connaissent pas cette infolettre, et ça c’est vraiment dommage. Tu peux réparer cette injustice, en faisant suivre ce mail aux personnes qui le méritent, afin de leur permettre de s’abonner si elles le souhaitent. Si on t’a fait suivre ce mail et que tu souhaites t’abonner, voici le bouton magique :
Bon, c’est la fête, mais trève de blabla nombriliste, que la fête commence.
Tes retours sur le numéro 025
Merci une fois de plus d’avoir pris le temps de me faire un retour sur le dernier envoi.
J’ai même eu des retours sur des contenus de numéros plus anciens. Les ours squatteurs de l’Arctique du n°024, par exemple. On m’informe fort pertinemment que la vidéo est tournée au drone, ce qui explique que le photographe Dmitry KOKH n’a pas servi d’apéritif pour les ours squatteurs. Comment ne l’avais-je décelé ? Tu sais pourtant que j’aime les vidéos au drone.
La photo de “7 mois de soleil” suscite des interrogations : sur quoi a-t-elle été imprimée ? Pourquoi on voit le soleil mais aussi le reste ? Mais alors comment ça se passe les jours de mauvais temps (la photo est prise en Écosse) ? Ce solargraphe a été imprimé sur du papier photo (la photo s’imprime toute seule, il n’y a pas de développement à réaliser). L’auteur indique qu’elle a retouché la photo pour rendre visible les bâtiments au premier plan, que les voitures que l’on devine ont dû être garées au même endroit pendant longtemps. Si tu es motivé·e et que tu veux tenter toi aussi ton solargraphe, tu peux acheter une Solarcan sur ce site anglophone, et tu me raconteras… Ça te dit de tenter le concours du plus beau solargraphe à ta fenêtre ? Le site propose un mode d’emploi en français qui répondra peut-être à tes interrogations…
Les écrans dégradés de Times Square ça a plu à certain·es, et dommage pour mon chouchou qui était à New York mais qui a raté le truc…
La Police de la grammaire est de retour ! Elle me dit à propos de l’infolettre “si tu écris "Si on te l’a partagée et qu’elle t’a un peu réchauffée, abonne-toi.", ça sous-entend que tu n'as que des abonnées filles. Sinon, il faudrait écrire réchauffé avec é sans e.” Mouais, admettons que j’aie des abonnés, dans ce cas j’aurais dû mettre réchauffé·e.
Une photo perso : C’EST LA FÊTE, JE T’EN COLLE PLEIN
Il ne t’aura peut-être pas échappé que j’ai mis récemment les pieds dans cette belle région qu’est l’Alsace.
J’aime les toits alsaciens très pointus, avec des fenêtres sur plusieurs étages. J’ai eu beau chercher, je ne suis pas tombé sur des paréidolies.
La bibliothèque humaniste de Sélestat héberge une partie de la Mémoire du Monde :
J’aime les cigognes, mais je n’en ai pas vu de très photogéniques cette fois-ci. En revanche, plusieurs cygnes m’ont fait signe :
En haut du Mont Sainte-Odile, il y a un couvent, et dans ce couvent il y a un cadran solaire unique au monde. Conçu par les moines cisterciens de l’Abbaye de Neubourg au XVIIIème siècle, ce cadran donne non seulement l’heure solaire vraie du lieu, mais également les heures babyloniennes, italiennes, antiques ainsi que les heures solaires vraies de différents endroits du globe.
Une lecture que j’ai appréciée : SKAL
J’ai récemment lu un petit livre pas comme les autres. C’est écrit par … le Temps.
Tout le monde n’est pas au clair avec son rapport au temps. Le temps qui passe, le temps perdu (qu’on ne rattrape plus, même si certains vont à sa recherche). Le temps qui nous éloigne de notre naissance et nous rapproche de notre mort. Le temps qu’on prend pour lire des livres. Le temps qu’on ne se laisse pas voler par les écrans. Ici, le Temps s’adresse à la personnne qui lit, lui parle d’elle. Il lui parle aussi de lui, le Temps. Il livre quelques secrets. Ça s’appelle Salut, moi c’est le Temps.
Le Temps a chargé le pianiste et auteur SKAL de donner vie à ce livre (en auto-édition, disponible ici). Sur le site de SKAL, il est possible aussi d’écrire au Temps si la lecture du livre suscite des commentaires. Je t’en mets un petit bout pour te donner envie, sans vouloir nuire aux droits d’auteur du Temps :
Une belle citation : IMPRIMERIE
"L'art vise à imprimer en nous des sentiments plutôt qu'à les exprimer."
Henri Bergson.
Un dessin perso : JE REPRENDS DES COULEURS
Toujours pas de créations personnelles en 3 dimensions (#trac), mais l’aquarelle est revenue se frotter à moi.
Voilà, c’était un petit numéro, la fête est finie, ou pas.
Le numéro 027 de Mes Explorations est prévu le 18 mars 2022, ou pas… Après un an, des choses pourraient changer. Il est possible que cette infolettre mute au cours de sa deuxième année. Elle deviendra ce qu’elle deviendra, et si tu restes à bord, tu verras bien ce que ça donnera #suspense… Quoi qu’il en soit, il n’est toujours pas prévu d’explorer les tendances, pourtant répandues ces temps-ci, consistant à monter les gens, les peuples et les pays les uns contre les autres.
Я солідарний з українським народом, я також солідарний з російським народом, який нічого не просив
Я солидарен с украинским народом, я солидарен и с русским народом, который ничего не просил
Raketa est une Maison horlogère prestigieuse riche de 300 ans d'histoire. À l'origine, c'est une usine fondée en 1721 par Pierre le Grand, à Petrodvorets, et spécialisée dans la production d'objets en pierres précieuses. S'orientant progressivement vers l'horlogerie, elle devient une usine de production de montres nommée « Pobeda », avant de s'appeler « Raketa » (« fusée en russe ») en 1961, en l'honneur du vol spatial de Youri Gargarine. Concevant toujours ses garde-temps dans la manufacture de Petrodvorets, la plus vieille usine de Russie depuis sa fondation en 1721, Raketa est aujourd'hui l'une des rares manufactures au monde qui produit la totalité de ses mouvements en interne, forte de son savoir-faire unique et ancestral. Avoir une montre Raketa, c'est porter un morceau d'histoire de la Russie au poignet, en plus d'une pièce horlogère dont la qualité est digne des plus grandes marques.
(D’après la boutique en ligne ocarat.com - lien non sponsorisé, ma Raketa à moi est vintage)
En attendant le prochain numéro, n’oublie pas d’écouter.